« Le constat est aussi cruel qu’injuste : l’ACP (#Afrique-Caraibes-Pacifique) est la + faible émettrice de gaz à effets de serre au monde mais fait pourtant partie des plus grandes victimes du dérèglement climatique!!! »
#Maputo #Acp #Climat #COP27 #Europe
Mon intervention ⬇️

There are no EU sanctions against Russia causing food crisis in Africa as told by the far right propaganda, says @EricAndrieuEU at the EU-ACP interparliamentary assembly.

We must support Africa for its food production to become independent from external shocks.

✊La convention de #Maputo adoptée hier suivra & évaluera les lois, les mesures & les moyens mis en œuvre pour protéger les droits des femmes sur les questions de violences (mutilation génitale, mariages forcés,…)
Pour découvrir le texte, c’est ici ⬇️

First day for our delegation to the EU-ACP Joint Parliamentary Assembly in Maputo. And first solemn commitment at the Women’s Forum! We‘ll call on the EU-ACP Assembly for a new EU-Africa Women Convention to outline challenges, propose common actions and assess implementation!

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Depuis 2013, la Commission a proposé 25 fois aux États un texte pour protéger les abeilles

Monsieur le Président, Monsieur le Commissaire, le 25 janvier dernier, les chefs d’État et de gouvernement se sont enfin accordés sur la mise en place d’indicateurs de risque harmonisés. Et c’est une très bonne chose. Mais, en même temps, le 25 janvier dernier, les représentants des 28 États membres ont été incapables d’adopter les lignes directrices proposées par la Commission européenne visant à protéger les pollinisateurs des dommages causés par les pesticides. Alors où est la vérité?

La vérité, c’est que depuis 2013, la Commission a proposé vingt-cinq fois aux États membres un texte visant à mieux protéger les abeilles des pesticides.

La vérité, c’est que 40 % des insectes ont disparu lors de la dernière décennie et que le taux de mortalité des abeilles atteint les 80 % dans certaines régions de l’Union européenne. L’agriculture intensive est le principal moteur de ce déclin et, avec elle, l’utilisation de pesticides à outrance. La vérité, c’est que les chefs d’État continuent de se cacher derrière des décisions pseudo européennes qui ne sont en réalité, ni plus ni moins, que les leurs. C’est que les progrès enregistrés sur l’utilisation durable des pesticides sont largement insuffisants, notamment en termes d’alternatives. C’est que ces mêmes chefs d’État doivent en finir avec leur hypocrisie sur la question des pesticides et cesser de dérouler le tapis rouge aux multinationales de l’agrochimie.

Il est temps, Monsieur le Commissaire, que la Commission européenne tape du poing sur la table, exige que les États membres rendent des comptes et lancent, le cas échéant, des procédures d’infraction. Il en va de la santé des 500 millions de citoyens européens.

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