« Le constat est aussi cruel qu’injuste : l’ACP (#Afrique-Caraibes-Pacifique) est la + faible émettrice de gaz à effets de serre au monde mais fait pourtant partie des plus grandes victimes du dérèglement climatique!!! »
#Maputo #Acp #Climat #COP27 #Europe
Mon intervention ⬇️

There are no EU sanctions against Russia causing food crisis in Africa as told by the far right propaganda, says @EricAndrieuEU at the EU-ACP interparliamentary assembly.

We must support Africa for its food production to become independent from external shocks.

✊La convention de #Maputo adoptée hier suivra & évaluera les lois, les mesures & les moyens mis en œuvre pour protéger les droits des femmes sur les questions de violences (mutilation génitale, mariages forcés,…)
Pour découvrir le texte, c’est ici ⬇️

First day for our delegation to the EU-ACP Joint Parliamentary Assembly in Maputo. And first solemn commitment at the Women’s Forum! We‘ll call on the EU-ACP Assembly for a new EU-Africa Women Convention to outline challenges, propose common actions and assess implementation!

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Décision de la Cour Européenne des Droits de l’Homme – « Sea Watch vs Italie, la Cour Européenne des Droits de l’Homme déçoit »

La délégation française au sein du groupe des Socialistes et Démocrates au Parlement européen déplore la décision de la Cour européenne des droits de l’Homme concernant le débarquement des migrants sauvés par le bateau Sea Watch 3.

Rappel des faits :

Le 12 juin dernier, le bateau de l’ONG Sea Watch battant pavillon néerlandais a secouru 53 migrants dans les eaux internationales. 11 personnes vulnérables ont pu être débarquées en Italie grâce à la ténacité de la capitaine du bateau, Carola Rackete. Mais face au refus des autorités italiennes de laisser débarquer les 42 autres personnes, et face au désintérêt des autres États membres sollicités par l’Italie – notamment les Pays-Bas-, les migrants et la capitaine ont décidé de saisir la Cour européenne des droits de l’Homme.

Dans sa décision du 24 juin, la Cour a estimé que les personnes vulnérables ayant été débarquées, « il n’y avait pas de raisons d’exceptionnelle gravité et d’urgence justifiant l’application des mesures provisoires ». Ce que l’on comprend bien, c’est que ces mesures auraient forcé l’Italie, et plus largement tous les États membres, à accueillir ces migrants.

Face à cette décision, la capitaine du Sea Watch a pris ce jour la lourde responsabilité d’amener ses passagers en eaux sûres, en forçant l’entrée du port de Lampedusa.

Depuis des mois, ces situations indignes se multiplient. Aucune solution de long terme n’est proposée par les États membres. Pourtant, celle-ci existe : accepter la réforme du règlement Dublin proposée par le Parlement il y a plus de deux ans. Les débarquements seront alors organisés, ordonnés et prévisibles et l’ensemble des pays européens participera de façon solidaire à l’accueil de personnes en détresse.

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