« Le constat est aussi cruel qu’injuste : l’ACP (#Afrique-Caraibes-Pacifique) est la + faible émettrice de gaz à effets de serre au monde mais fait pourtant partie des plus grandes victimes du dérèglement climatique!!! »
#Maputo #Acp #Climat #COP27 #Europe
Mon intervention ⬇️

There are no EU sanctions against Russia causing food crisis in Africa as told by the far right propaganda, says @EricAndrieuEU at the EU-ACP interparliamentary assembly.

We must support Africa for its food production to become independent from external shocks.

✊La convention de #Maputo adoptée hier suivra & évaluera les lois, les mesures & les moyens mis en œuvre pour protéger les droits des femmes sur les questions de violences (mutilation génitale, mariages forcés,…)
Pour découvrir le texte, c’est ici ⬇️

First day for our delegation to the EU-ACP Joint Parliamentary Assembly in Maputo. And first solemn commitment at the Women’s Forum! We‘ll call on the EU-ACP Assembly for a new EU-Africa Women Convention to outline challenges, propose common actions and assess implementation!

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Face aux coupes brutales du Conseil, nouvelle bataille en vue pour le budget 2018 de l’Union

Comment peut-on attendre de l’Europe qu’elle prenne à bras le corps la question de la sécurité, de l’emploi des jeunes, du changement climatique, de la crise agricole, de la recherche, de la défense, de l’accueil des réfugiés ou des catastrophes naturelles comme l’ouragan Irma, tout en lui refusant chaque année les moyens pour le faire ? C’est l’impossible équation que le Conseil impose chaque année à l’Union, l’obligeant de fait à opérer des sacrifices entre ses programmes qui décrédibilisent l’Union toute entière.

La procédure budgétaire pour 2018 connaît une aggravation. Alors qu’il dresse une longue liste de priorités politiques pour l’Europe, souligne l’importance de soutenir la croissance et l’emploi, et de relever le défi migratoire, le Conseil est déterminé à opérer des coupes budgétaires sans précédent pour 2018, à hauteur de 1,2 milliard d’euros. Le projet de la Commission se voit sabré, notamment dans les programmes majeurs comme la recherche (-750 millions d’euros pour Horizon 2020), les infrastructures (-100 millions d’euros pour le Mécanisme pour l’Interconnexion en Europe), les programmes de coopération et de développement, ou encore la politique de cohésion (-240 millions d’euros).

Nous, eurodéputés socialistes et radicaux, ne pouvons nous résoudre à accepter ces saignées, qui menacent des pans entiers des priorités européennes. Face à l’impossible équation de « faire plus avec moins de moyens », le Parlement va devoir jouer pleinement de son rôle de codécideur, le budget 2018 dépendant de son vote, afin que l’Union puisse continuer à répondre autant que possible aux défis du moment. Nous le réaffirmons : il ne peut y avoir de nouvelles politiques sans nouvelles ressources correspondantes.

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