Nouvelles normes #EURO7 : une proposition décevante, une bataille à mener au Parlement européen

Pour @MebarekNora "les seuils fixés dans cette proposition sont bien trop faibles pour lutter vraiment contre la pollution de l’air, et donc sauver des vies."

https://www.social-ecologie.eu/nouvelles-normes-euro-7-une-proposition-decevante-une-bataille-a-mener-au-parlement-europeen/

« Si rien ne change, nous n’aurons d’autres choix que de mourir! »
Témoignages bouleversants de petits exploitants agricoles brésiliens victimes d’une politique agricole centrée uniquement sur les grandes entreprises et les multinationales…
@foeeurope #Mercosur

Intervention étayée de @EricAndrieuEU qui rappelle le travail opéré sur l’étiquetage dans le règlement OCM. Je partage avec lui que l’information et l’éducation sont les deux leviers les plus efficaces!

Il faut une nouvelle Politique Agricole Commune!
Alors que la #PAC fête son 60ème anniversaire, c’était l’occasion de rappeler ses bienfaits mais aussi ses lacunes.

Le constat tiré il y a 50ans par Mansholt est tristement d'actualité
Explications⬇️
https://www.eric-andrieu.eu/il-faut-une-nouvelle-politique-agricole-commune-la-lettre-de-mansholt-en-1972-est-plus-que-jamais-dactualite/

#COP27 organisée dans un pays africain est l’occasion de donner davantage de visibilité aux organisations de la société civile africaines mais aussi de rappeler que l’Afrique a le taux d’émission carbone le + faible mais est la plus grande victime du réchauffement climatique

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L’avenir du secteur ferroviaire français vu d’Europe : Oui aux obligations de service public, non au déni de démocratie !

En tant que députés européens s’étant battus pour protéger les services publics lors de l’adoption du 4ème paquet ferroviaire en 2016, nous regrettons le choix du gouvernement de reprendre à son compte les principales recommandations du rapport « Spinetta » sur l’avenir du secteur ferroviaire.

L’Union européenne n’impose pas une ouverture à outrance et à marche forcée des services ferroviaires, ni une évolution de la SNCF vers une société anonyme et encore moins une réforme du statut des cheminots.

Nous nous sommes battus pour que le 4ème paquet ferroviaire garantisse la capacité des États à recourir à des obligations de service public et à interdire l’accès d’opérateurs privés si cela venait à remettre en cause l’équilibre d’un service public. Aujourd’hui, nous déplorons que le Premier ministre ait davantage communiqué sur une « réforme managériale » que sur le raison d’être du service public ferroviaire : celui d’assurer le maillage du territoire pour tous. Si l’État renonce aux obligations de service public sur les lignes à haute vitesse ou sur les trains d’équilibre du territoire, alors ce sera le choix d’une politique libérale que nous combattrons, mais en aucun cas le résultat d’une prétendue « adaptation aux règles européennes ». Partout en Europe où les obligations de service public ont été délaissées au profit d’un libre accès pour les opérateurs privés, ce sont ces « petites » lignes fondamentales pour assurer la cohésion territoriale qui ont été progressivement abandonnées.

Enfin, nous rejetons fermement tout recours aux ordonnances si la concertation n’aboutit pas. Cela serait un déni de démocratie inacceptable ! Nous nous opposons également fermement au recours aux ordonnances pour des aspects soit disant techniques, parce que le choix de l’organisation des services publics est, et restera, un sujet politique qui touche au cœur des enjeux de cohésion territoriale et sociale.

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