« Le constat est aussi cruel qu’injuste : l’ACP (#Afrique-Caraibes-Pacifique) est la + faible émettrice de gaz à effets de serre au monde mais fait pourtant partie des plus grandes victimes du dérèglement climatique!!! »
#Maputo #Acp #Climat #COP27 #Europe
Mon intervention ⬇️

There are no EU sanctions against Russia causing food crisis in Africa as told by the far right propaganda, says @EricAndrieuEU at the EU-ACP interparliamentary assembly.

We must support Africa for its food production to become independent from external shocks.

✊La convention de #Maputo adoptée hier suivra & évaluera les lois, les mesures & les moyens mis en œuvre pour protéger les droits des femmes sur les questions de violences (mutilation génitale, mariages forcés,…)
Pour découvrir le texte, c’est ici ⬇️

First day for our delegation to the EU-ACP Joint Parliamentary Assembly in Maputo. And first solemn commitment at the Women’s Forum! We‘ll call on the EU-ACP Assembly for a new EU-Africa Women Convention to outline challenges, propose common actions and assess implementation!

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Perturbateurs endocriniens : La Commission européenne répond à Eric Andrieu

Le 22 février dernier, Eric Andrieu et 24 eurodéputés avait demandé  à l’exécutif européen la mise en place d’un système de classification des perturbateurs endocriniens. Retrouvez l’intégralité de la réponse donnée par le M. Andriukaitis, Commissaire européen chargé de la santé et de la sécurité alimentaire :

 

FR

E-001193/2017

Réponse donnée par M. Andriukaitis

au nom de la Commission

(18.4.2017)

Le 15 juin 2016, la Commission a présenté deux projets d’actes législatifs — l’un conformément au règlement sur les produits biocides, l’autre au titre du règlement relatif aux produits phytopharmaceutiques, fixant les critères permettant d’identifier les perturbateurs endocriniens[1].

Les critères proposés sont fondés sur des données scientifiques et garantissent un niveau élevé de protection de la santé humaine et de l’environnement. La Commission ne considère pas qu’ils demandent une charge de la preuve trop lourde, puisqu’ils indiquent d’emblée que l’identification d’un perturbateur endocrinien peut être fondée sur des études animales et qu’il n’est pas nécessaire d’apporter la preuve d’effets nocifs chez l’homme. En outre, toutes les preuves scientifiques pertinentes, y compris les études in vivo, in vitro, et, le cas échéant, in silico, doivent être envisagées dans le cadre d’une approche fondée sur le poids de la preuve.

La Commission estime que la création d’une catégorie différente de ce que «peut être» un perturbateur endocrinien ne serait pas utile. Cette catégorisation dans un cadre réglementaire réduirait la sécurité juridique pour les autorités de réglementation et les parties prenantes, car il n’existe pas de conséquences réglementaires différentes en fonction des catégories de perturbateurs endocriniens dans les législations sur les pesticides et les biocides.

Les discussions avec les États membres et les experts sur les critères se poursuivent. Tous les documents en cours de discussion et tous les comptes rendus de ces réunions sont publiés sur le site web de la Commission, afin de garantir un maximum de transparence.

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[1]     https://ec.europa.eu/health/endocrine_disruptors/policy_fr

[2]     https://ec.europa.eu/health/endocrine_disruptors/next_steps_fr

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